Selon un professeur émérite, Dr Frannie Léautier, l’innovation financière peut aider l’Afrique à augmenter le montant des investissements tout en maintenant un contrôle strict sur les niveaux d’endettement.
Quelques précisions sur l’avis de Frannie Léautier
Cela est principalement dû à l’utilisation de sources de fonds auparavant non utilisées, telles que le financement participatif ou des solutions uniques de transfert de risque qui peuvent réduire le coût des financements. La capacité de mieux combiner les financements commerciaux et préférentiels peut également réduire les coûts d’emprunt.
Comme pour le financement des exportations, lier les emprunts aux flux de revenus peut également garantir le remboursement de la dette conformément à la croissance et aux processus naturels de l’entreprise ou de l’activité. La solution de crédit-bail peut également libérer les fonds actuellement bloqués et les utiliser pour la priorité actuelle.
La mise en œuvre de l’augmentation de DTS n’impacte pas les dettes rapportées aux PIB de nombreux pays comme mentionnées précédemment. Cependant, quelques examens seront nécessaires pour identifier les dettes insoutenables afin de garantir la conformité des niveaux de la dette africaine et les critères internationaux.
La propulsion de l’Afrique à l’abri d’une aggravation de sa dette
Pour remédier aux impacts brutaux de la pandémie du coronavirus sur l’activité économique et financière, des relèvements des plafonds d’endettement a été aperçu par de nombreuses économies avancées. Cela afin de répondre aux demandes de financement de leurs économies. La capacité de l’Afrique de tirer parti de ses ressources nationales en est un exemple crucial.
Ainsi, les banques nationales et régionales de développement peuvent consacrer les ressources nationales en particulier en termes de commerce. Avec l’aide internationale et les sources de financement concessionnelles, ils peuvent également permettre le mélange.
Bref, l’innovation en finance rassemble le conditionnement d’un portefeuille d’actifs et sa mise à disposition sur les marchés privés par le gouvernement. Mais également, la gestion des risques sur les mécanismes de transfert et les rehaussements de crédit.