Si pour un prêt immobilier vous n’avez pas le temps de faire toutes les courses vous même il est possible de faire appel à un intermédiaire: le courtier. Même si ce dernier n’est pas lié par une obligation contractuelle, ses actions lui fait bénéficier des commissions et honoraires
Le courtier dans les procédures contractuelles
À titre d’explication, le courtier est une tiers personne intervenant dans la conclusion des contrats en deux personnes. Il est la partie neutre du contrat et n’est d’aucune contrainte. Mais son apport est capital et facilitateur des procédures. Plus d’informations sur les courtiers, cliquez maintenant ici.
En effet, dans une démarche de prêt immobilier, il est important de faire recours à un courtier compte tenu de ses missions de raccourci. Ailleurs, vous pouvez confier toute la gestion de la procédure à votre intermédiaire. Il négocie les termes de votre prêt selon vos préférences et orientations.
Ainsi vous n’aurez qu’à signer et authentifier les actes et actions du courrier. Bref, le courtier travaille au nom et pour le compte d’un autre. Cependant comment se rémunère-t-il?
Quelles sont les sources de revenus des courtiers ?
Dans son rôle d’auxiliaire facilitateur de procédure, le courtier a généralement deux sources de revenus. Ceci dans le cadre professionnel de l’expression. Il s’agit notamment des frais de courtage et les commissions bancaires.
La commission bancaire est octroyée par la personne emprunteuse. Cette collision s’élève à 1% du montant total de votre emprunt. Ceci étant et sans tenir compte des dépenses procédurales, il vous revient de décaisser 1% de votre emprunt pour payer l’intermédiaire.
Même si ce taux est en baisse non négligeable, l’exonération n’est pas encore totale. Les frais de courtage quant à eux peuvent être fixés en honoraire allant de 950€ à 2500€. Ils peuvent prendre aussi une forme forfaitaire de 1% de la somme empruntée. Dans l’un ou l’autre des cas une négociation entre les parties peut aboutir à un compromis.